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Femme et sport, une histoire de passion

Femme et sport, une histoire de passion
Pierre
de Coubertin qui a dit «
Les femmes
et le sport ne font pas bon ménage
» a été depuis
longtemps démenti par ce
misogyne père de l’olympisme
moderne.

 

Depuis
les femmes ont
investi le sport de haut niveau
pour représenter près
de 40% des athlètes
présents aux Jeux Olympiques
de Pékin en 2008.

Quand les garçons jouent
au football ou au rugby ou nagent,
les filles font de la GRS, de
la danse ou du basket.

Ce schéma est en pleine
évolution car de nombreux
sports s’ouvrent au sport
féminin.

La biologie est toutefois différente
chez la femme avec des modifications
qui accompagnent la vie de la
femme : les règles, les
grossesses, la ménopause.

Ainsi il faut tenir compte de
ces particularités bien
féminines pour poser les
indications de pratiques
.

De plus la morphologie des femmes
entraîne la mise en place
de précautions particulière
des glandes mammaires ou la prise
en compte des hyper laxités
ligamentaires et du valgus physiologique
des membres inférieurs.


La femme est donc confrontée
lors
de la pratique sportive à
des contraintes
médicales particulières.

Par exemple il est prouvé
qu’une pratique sportive
d’au mois 45 minutes par
jour protège du cancer
du sein
mais la course sur
route exagérée provoque
aussi des aménorrhée
responsable d’ostéoporose
ou aggrave les incontinences
urinaires
d’effort.


Autre question le sport de haut
niveau
est-il compatible avec la vie
de femme ?

Les contraintes inévitables
touchent aussi les hommes mais
l’hyper entraînement
peut provoquer des troubles des
règles, le syndrome prémenstruel
peut être un frein à
la performance, la grossesse
stoppe une carrière mais
renforce le désir de gagner,
le dopage
peut transformer le corps de la
femme, la masse musculaire moins
importante et la consommation
d’oxygène plus faible
limitent les performances même
si les femmes réduisent
les écarts de performances
avec les hommes.

L’anémie
fragilise plus les sportives,
le sexisme touche plus le sport
féminin, la sexualité
est souvent un sujet tabou mais
les femmes ont souvent une énergie
plus forte pour se motiver et
un moral affûté pour
trouver toute leur place dans
ce milieu un peu « masculin
».

Tout est
donc question d’équilibre
et de diversification.

Le sport bien-être ou le
sport en famille, c’est
surtout réaliser une activité
physique en respectant le développement
durable loin de la pollution et
du bitume sans vouloir tomber
dans certains excès top
souvent retrouvés chez
les hommes.

Bouger c’est la
santé mais la pratique
doit être avant tout sans
risque pour celle-ci.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 

 

 
 
 

 
 
 

 

 

 
 

 

 

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+
La pratique
sportive féminine.