Le Dopage et son Histoire
De tout temps, l’homme a cherché à améliorer ses performances par des moyens artificiels. En effet, les premières notions de dopage datent de l’Antiquité. L’Iliade et l’Odyssée sont riches en de tels exemples.
a) Dès le VIème siècle avant J.-C., les athlètes grecs ingéraient déjà des viandes variées selon la discipline sportive qu’ils exerçaient :
- les sauteurs mangeaient de la viande de chèvre.
- les boxeurs et les lanceurs, de la viande de taureau.
- les lutteurs quant à eux préféraient de la viande grasse de porc.
b) L’hydromel avait la faveur des grecs et les romains faisaient appel aux propriétés tonique des feuilles de sauge.
c) Les populations primitives négro-africaines partagent avec les populations amérindiennes ce besoin incoercible et permanent de dopants, c’est à dire de drogues capables d’accroître leur énergie physique et psychique, voire le potentiel sexuel des individus qui les consomment. Ainsi, les indigènes d’Amérique du Sud mâchent les feuilles de coca, ceux d’Afrique la noix de kola.
d) Les chinois connaissent depuis plus de 3 000 ans les vertus stimulants du ginseng. De nos jours, pour parvenir aux niveaux supérieurs de la performance, l’athlète doit faire « le plein » de ses possibilités physiques.
Le Docteur Burstin, auteur de l’ouvrage Le Dopage, publié en 1961, prévisait : « pour combattre le dopage, il faut que l’on sache que les athlètes dopés relèvent avant tout de la thérapeutique et non des sanction ».
Définition du Dopage sportif et législation actuelle
Il y a dopage à partir du moment où un sportif utilise des substances ou méthodes interdites pour améliorer ses résultats à l’entraînement et en compétition. Les stéroïdes sont les substances qui viennent le plus souvent à l’esprit lorsqu’il est question de dopage, mais le dopage comprend aussi l’utilisation par le sportif d’autres substances interdites (comme les stimulants, hormones, diurétiques, narcotiques et marijuana), le recours à des méthodes interdites (comme la transfusion sanguine ou le dopage génétique), et même le refus de se soumettre à un contrôle du dopage ou encore la tentative de fausser les résultats d’un contrôle.
« À mesure que tu continueras de faire du sport, la question du dopage se posera de plus en plus. En effet, tu pourrais subir un contrôle, certains de tes adversaires tricheront en prenant des substances interdites et tu pourrais toi-même être tenté de le faire. »
Le saviez-vous ?
- Différentes lois se sont succédées depuis 1965 : La loi Herzog du 1er juin 1965, la loi Bambuck du 28 juin 1989, la loi Buffet du 23 mars 1999, la loi du 5 avril 2006.
- La dernière en date est la loi n°2008-650 du 3 juillet 2008 qui étend la pénalisation, au delà de l’usage, à la simple détention de produits ou procédés interdits et prend en compte les exceptions liées à un besoin thérapeutique, les procédures de contrôle sont également plus détaillées. Enfin les incriminations pénales concernent, outre la vente ou la cession de produits, la fabrication, la production, l’importation, l’exportation et le transport de ces produits.
La Loi du 28 Juin 1989
Première loi d’envergure pour lutter contre le dopage
La persistance du phénomène Dopage et sa médiatisation ont conduit les pouvoirs publics à modifier la législation afin de la rendre très efficace : le nouveau texte est devenu la loi du 28 juin 1989 ou Loi Bambuck.
Est considéré comme dopage le fait au cours des compétitions et des manifestations sportives organisées ou agréées par des fédérations sportives ou en vue d’y participer (entraînements) :
- d’utiliser des substances ou procédés interdits.
- d’administrer ou d’appliquer ces substances ou procédés (y compris aux animaux).
- d’inciter à leur usage ou d’en faciliter l’utilisation Selon la convention européenne du 16/11/89, on entend par dopage l’administration aux sportifs ou l’usage par ces derniers d’agents ou de méthodes de dopage interdits par les organisations sportives internationales et figurant sur des listes officiellement approuvées.
La Loi Buffet du 24 Mars 1999
Sous la pression des évènements et de l’affaire Festina cette loi modifie en profondeur le code antidopage pour s’adapter aux circonstances délétères des affaires (JORF n°70 du 24 mars 1999 page 4399).
La loi du 6 Avril 2006
Pour garantir des conditions de pratique des activités physiques ou sportives conformes aux principes définis par l’article 1er de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 relative à l’organisation et à la promotion des activités physiques et sportives, le ministre chargé des sports, en liaison avec les autres ministres et organismes intéressés, engage et coordonne les actions de prévention, de surveillance médicale, de recherche et d’éducation mises en œuvre avec le concours, notamment, des fédérations sportives agréées dans les conditions définies à l’article 16 de la loi n° 84-610 du 16 juillet 1984 précitée, pour assurer la protection de la santé des sportifs et lutter contre le dopage (JORF n°82 du 6 avril 2006 page 5193).
Article L232-9 (2008)
Modifié par :LOI n°2008-650 du 3 juillet 2008 – art. 1
Il est interdit à tout sportif participant à une compétition ou manifestation sportive organisée ou autorisée conformément au titre III du livre Ier du présent code, ou se préparant à y participer :
- 1° De détenir, sans raison médicale dûment justifiée, une ou des substances ou procédés interdits par la liste mentionnée au dernier alinéa du présent article, pour lesquels l’appendice 1 à la convention internationale contre le dopage dans le sport, adoptée à Paris le 19 octobre 2005, ne prévoit la possibilité de sanctions réduites qu’en cas de circonstances exceptionnelles ;
- 2° D’utiliser une ou des substances et procédés interdits par la liste mentionnée au dernier alinéa du présent article.
L’interdiction prévue au 2° ne s’applique pas aux substances et procédés pour lesquels le sportif dispose d’une autorisation pour usage à des fins thérapeutiques conformément aux modalités prévues par l’article L. 232-2.
La liste des substances et procédés mentionnés au présent article est celle qui est élaborée en application de la convention internationale contre le dopage dans le sport précitée ou de tout autre accord ultérieur qui aurait le même objet et qui s’y substituerait. Elle est publiée au Journal Officiel.
Article L232-9 (2012)
Modifié par LOI n°2012-348 du 12 mars 2012 – art. 6 (V)
Il est interdit à tout sportif :
- 1° De détenir ou tenter de détenir, sans raison médicale dûment justifiée, une ou des substances ou méthodes interdites figurant sur la liste mentionnée au dernier alinéa du présent article ;
- 2° D’utiliser ou tenter d’utiliser une ou des substances ou méthodes interdites figurant sur la liste mentionnée au dernier alinéa du présent article.
L’interdiction prévue au 2° ne s’applique pas aux substances et méthodes pour lesquelles le sportif :
- a) Dispose d’une autorisation pour usage à des fins thérapeutiques ;
- b) (Abrogé)
- c) Dispose d’une raison médicale dûment justifiée.
La liste des substances et méthodes mentionnées au présent article est celle qui est élaborée en application de la convention internationale mentionnée à l’article L. 230-2 ou de tout autre accord ultérieur qui aurait le même objet et qui s’y substituerait. Elle est publiée au Journal officiel de la République française.
Le Dopage dans le Sport : une réalité historique
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Certains auteurs grecs nous relatent quelques faits qui prouvent que de tout temps, le sportif a utilisé divers moyens pour augmenter ses performances.
Selon MILON de CROTONE, les athlètes du VIème siècle avant J-C. tentaient d’accroitre leur force en mangeant des viandes différentes selon la discipline qu’ils pratiquaient A différentes périodes, PHILOSTRATE et GALIEN rapportent que les athlètes essayaient d’accroitre leurs performances en avalant toutes sortes de substances.
Au Ier siècle avant J-C., PLINE LE JEUNE (ou selon les auteurs PLINE L’ANCIEN) indique que les coureurs de fond de la Grèce Antique utilisaient des décoctions de PRELE (Equisetum) pour se contracter la rate et prévenir les abandons lors des courses de longue durée. Plus tard, le cannabis sera utilisé par les guerriers fanatiques de HABAN IBN AL SABBAH pour ses propriétés euphorisantes, désinhibantes, et stimulantes que l’on appellera « Haschashin ».
Dans l’armée
Le XXème siècle découvre et utilise le dopage clinique. Le dopage fut importé dans les milieux sportifs par… les autorités militaires (doubles ou triples rations de « gnôle » et de « pinard » des grognards et des poilus).
Utilisation de 72 M de comprimés d’amphétamines dans les contingents britanniques pour permettre le retour à la vivacité chez le sujet prêt à tomber de sommeil, pour lui procurer un sentiment de bien-être et de confiance sans altérer son jugement (MAJOR DNW GRANT).
Premiers contrôles
C’est dans les années 60 que va se dessiner en Europe une ébauche d’action antidopage concertée suite à la mort du Danois KNUT JANSEN lors de l’épreuve cycliste sur route des J.O. de Rome. Le CIO décida d’instaurer un contrôle antidopage et en 1963, mise en place d’une commission d’experts par les États Membres du Conseil de l’Europe (Congrès Olympique de Madrid). Ces mesures furent relayées en 1967 par l’HCI. On attendit 1968 pour voir l’application des premiers tests aux J.O. de Mexico.
En France, la première Loi Anti-Dopage apparaît en 1965 (dite « loi Mazaud », avec une définition très précise du dopage mais seul l’état décide et agit en la matière. Il va ensuite progressivement associer les fédérations sportives à son action et renforcer son armement juridique par les décrets de Juin 1966 et Août 1967. La modernisation ainsi que l’ascension commerciale et médiatique du sport vont conduire à la loi de juin 1989 (dite « Loi Bambuck ») qui se veut disciplinaire avant d’être pénale, respectueuse des droits de l’individu, préventive aussi bien que répressive.
En 1998, pendant le Tour de France, apparaît au grand jour l’« Affaire Festina ». Le Parlement vote alors le 23 mars 1999 une nouvelle loi, dite « Loi relative à la protection de la santé des sportifs et à la lutte contre le dopage ».
Les premiers J.O. datent de 776 avant J.-C. et se sont déroulés tous les 4 ans pendant près de 12 siècles. Cependant, quelques faits sont marquants dans l’histoire du dopage.
- 1960 : suspicion de dopage du coureur cycliste danois ENEMARK mort à l’arrivée de la course des 100 km aux J.O. de Rome.
- 1964 : contrôle de féminité des sœurs PRESS, lanceuses de poids.
- 1967 : décès de Tom SIMPSON dans le Tour de France (amphétamines).
- 1968 : le CIO impose les premiers contrôles antidopage aux J.O. de Mexico.
- 1976 : 2300 contrôles aux J.O. de Montréal 7 haltérophiles disqualifiés.
- 1984 : J.O. de Los Angelès : 11 athlètes positifs et construction du 1er laboratoire de contrôle américain.
- 1988 : J.O. de Séoul, une dizaine d’athlètes déclarés positifs dont le célèbre Ben JOHNSON (aux anabolisants), disqualifié après sa victoire et son record du monde sur le 100m. Il sera par la suite récidiviste en 1993 et radié à vie.
- 1994 : Jeux Asiatiques d’Hiroshima, 11 sportifs chinois dont 7 nageurs contrôlés positifs. Mais aussi, saisie record effectuée par les douanes de l’aéroport de Mexico de 50 tonnes d’Ephédrine, destinées aux laboratoires clandestins de Tijuana.
- 1995 : Juste avant l’ouverture des championnats du Monde de CANTON, l’haltérophilie annonce 64 cas de dopage avérés pour 95 au niveau international.
Le Dopage : une réalité actuelle
Les dimensions du dopage
Elles sont difficiles à cerner et objectivement seuls les contrôles permettent d’en établir l’existence alors que :
- la presse est généralement imprécise.
- rares sont les sportifs qui font des aveux.
- la rumeur est insidieuse.
- le silence et la complicité tacite sont souvent de règle « chez ceux qui savent ».
- les trafics se multiplient avec de nombreuses saisies réalisées par les Douanes, affectant toute sorte de produits : vrais médicaments, faux médicaments, copies, produits illicites, etc…
- les manipulations sanguines, génétiques et biologiques sont désormais connues et utilisées de façon illicite par les sportifs. Aucun sport n’est à l’abri et toutes les fédérations sont concernées. Il n’y a pas que les sports classiques tels cyclisme, haltérophilie, athlétisme ou la natation qui sont touchés, des cas de dopage ont été retrouvés à la pétanque, en équitation, en handisport, en tir ou en voile et encore dans bien d’autres sports.
Les motifs du dopage
- le sport est devenu un enjeu politico financier énorme. Comme toutes les autres activités de spectacle, il se trouve donc pris dans la spirale de l’argent. Dans la Grèce Antique déjà, on disait qu’une victoire à Olympie faisait plus pour la gloire d’une cité qu’une victoire sur le champ de bataille.
- les J.O. revêtaient une telle importance que pendant leur déroulement, tout conflit était suspendu. Nombre de récompenses étaient réservées aux vainqueurs. SOLON (600 avant J-C.) avait même proposé 500 drachmes (petite fortune à l’époque) à celui qui rapporterait à Athènes une couronne olympique.
- de nos jours, plusieurs facteurs interviennent dans le dopage, et ce à tous les niveaux de pratique sportive :
- enjeux à la fois financiers (sport business), politiques, sportifs et professionnels.
- vedettariat et pressions médiatiques.
- calendriers sportifs surchargés.
- société de consommation de médicaments.
- méconnaissance des vrais dangers du dopage.
- information et formation mal ciblées.
Le Dopage moderne : un danger pour la société et les sportifs
Des médicaments, normalement destinés à soigner des malades, sont détournés abusivement vers le dopage :
- à des doses trop fortes ou massives.
- en cures prolongées.
- en association incohérentes.
Et ont des conséquences telles que :
- dépassement des limites physiologiques.
- accoutumance, dépendance.
- effets pathologiques immédiats et à distance.
Des produits médicaux ou scientifiques sont détournés pour l’amélioration des performances, quel que soit le prix à payer. Des méthodes, de plus en plus sophistiquées, sont mises au point pour améliorer les performances en essayant de ne pas induire des résultats positifs lors des contrôles antidopage.
Affaire Festina, Juillet 1998
« Coup de tonnerre dans un ciel serein »; ce fut un tournant de l’histoire du dopage dans le sport.
Willy Voet, « soigneur » de l’équipe Festina, se fit arrêter à la veille du départ du Tour 98 de Dublin, remporté par le malheureux Marco Pantani (Ita).
Le Docteur Patrick BACQUAERT (médecin chef de l’IRBMS) est à l’origine de la découverte de cette affaire, ayant en sa qualité de Médecin Inspecteur de la Jeunesse et des Sports pisté avec les douaniers une équipe basée dans le Nord. L’affaire Festina a fait peur au pouvoir sportif et au monde politique et sans la détermination du Docteur Bacquaert appuyé par la direction régionale Nord pas de Calais des douanes cette affaire n’aurait jamais pu être révélée au public en effet tous les avertissements envoyés au Ministère des sports de l’époque et en particulier au bureau médical restaient sans suite avec un déni de la réalité du dopage.
Les éléments novateurs de la loi du 23 mars 1999
- Création d’une autorité administrative indépendante chargée de veiller à l’efficacité de la lutte contre le dopage: le C.P.L.D. (Conseil de Prévention et de Lutte contre le Dopage)
- Créations de nouvelles structures de soins et de prise en charge des sportifs : les antennes médicales de lutte contre le dopage.
- Renforcement des aspects répressifs de la lutte contre le dopage avec des peines aggravées pour les trafics et les faits commis à l’encontre des mineurs.
- Création d’un réseau cohérent de prise en charge, avec mise en place d’un numéro vert gratuit et anonyme« Ecoute Dopage ». Le site www.ledopage.fr peut remplir ce rôle.
- Restructuration des mesures disciplinaires à l’encontre des sportifs ayant contrevenu au dispositif de la loi avec meilleure intégration des différentes fédérations dans la lutte antidopage et harmonisation de cette lutte.
- Coordination de la recherche en matière de médecine du sport et de lutte conte le dopage. La création du Conseil de Prévention et de Lutte contre le Dopage est l’élément fort et novateur de cette loi, destiné comme le titre l’indique, à la protection de la santé des sportifs et à la lutte contre le dopage.
Le contrôle anti-dopage : du terrain au laboratoire
La mise en place d’un contrôle antidopage répond à des normes strictes de respect d’une procédure afin d’éviter les contestations juridiques. Tout sportif licencié peut en compétition ou à l’entraînement être soumis à un contrôle anti-dopage. Le contrôle sera effectué selon une procédure stricte, avec la réalisation d’un rapport transmis aux autorités compétentes, un double étant gardé par le sportif.
En cas de contrôle positif, une mise en place d’une contre-expertise sera effectuée à la demande du sportif qui, en cas de confirmation de ce contrôle, sera convoqué en première instance par la procédure disciplinaire de sa fédération. Le C.P.L.D. peut faire appel des sanctions. Il existe par ailleurs des procédures d’appel.
Tout sportif contrôlé positif est sanctionné par sa Fédération et doit avant de reprendre la compétition, passer un entretien dans une antenne régionale de lutte contre le dopage.
Le saviez-vous ?
L’Agence Mondiale Antidopage (AMA) a été fondée en 1999 à titre d’organisation internationale indépendante. Elle est composée et financée à parts égales par le Mouvement sportif et les gouvernements.
En septembre 2014, Valérie Fourneyron, ancienne ministre des sports et docteur en médecine, est désignée présidente pour deux ans du Comité santé, médical et recherche. Valérie Fourneyron travaillait déjà au sein du comité exécutif de l’AMA où elle représentait l’Europe depuis septembre 2012, au côté d’un autre Français, Tony Estanguet siégeant lui au nom du CIO. Dirigé par le professeur Suédois Arne Ljungqvist depuis la création de l’AMA, le Comité santé, médical et recherche touche au cœur de la mission de l’agence, accréditant les laboratoires antidopage du monde entier, établissant la liste des produits interdits et les priorités de recherche.
Médecin du sport, déjà impliquée dans la loi sur le dopage de 1989, Valérie Fourneyron, 54 ans, a vu dans cette nomination la « reconnaissance d’un engagement ancien, la logique d’un parcours. ». Source : AFP.
Conclusion
Le dopage, phénomène d’ampleur internationale, touche tous les sports (Football, Cyclisme, Rugby…). Il touche également tous les sportifs, quel que soit leur âge ou leur niveau de compétition.
Les mesures préventives et répressives prévues par la loi du 23 mars 1999, doivent servir à protéger le sportif et à lui garantir une pratique saine. Il ne faut pas oublier que le dopage est avant tout une tricherie qui en plus peut gravement nuire à la santé. Les pilules ou produits ne peuvent pas faire des champions.
Parfois ils peuvent même les défaire et les détruire. Le médecin du sport, placé au centre du dispositif, doit veiller à sensibiliser le maximum de sportifs au problème du dopage.
Les organismes représentatifs actuels
- L’Agence Mondiale Anti-Dopage
- Les représentants du C.I.O. à l’A.M.A
- L’Agence Française de Lutte contre le Dopage
- Le Ministère de la Jeunesse et des Sports
- L’UNESCO
- Le Comité National Olympique et Sportif Français
15 minutes pour comprendre le dopage
Pourquoi le dopage ? Comment ? Quelles limites ?
Une vidéo réalisée par Guillaume Jambou et diffusée le 25.11.17 lors du congrès de l’IRBMS.
© IRBMS - Droits de reproduction
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