Pratique sportive et blessures du rachis
#
CYCLISME
Le vélo doit être
adapté à votre morphologie.
La hauteur du cadre est environ
de 2/3 de l’entrejambe,
le pédalage doit se faire
sans déhanchement, le guidon
est en général 5
cm plus bas que la selle. Toutefois,
en cas de lombalgie,
la selle peut être abaissée
et le guidon remonté d’un
centimètre environ. Le
conseil d’un technicien
est nécessaire.
# NATATION
Il s’agit d’un sport
très complet à condition
de bien le pratiquer (on privilégiera
la nage sur le dos).
La brasse coulée est autorisée.
# JOGGING
La prévention de
la lombalgie passe par
la pratique du jogging sur un
terrain souple
avec de bonnes
chaussures et le port de semelles
amortissantes.
# TENNIS
Il s’agit d’un sport
asymétrique
pouvant occasionner des contraintes
rachidiennes introduisant
des lombalgies. Une bonne technique
est indispensable avec un style
de jeu adapté à
sa morphologie. Le type de surface
joue un rôle non négligeable.
# FOOTBALL – HANDBALL -VOLLEY
BALL
Le renforcement des muscles
abdominaux, transverses
et obliques, en luttant contre
l’hyperlordose (augmentation
de la courbure du rachis), va
également protéger
le footballeur contre la survenue
d’une pubalgie.
# GOLF
Ce sport à risque nécessite
la pratique d’une technique
sans faille. Un bon pivot
avec un bon transfert du corps
évitera les lombalgies
d’origines discales.
La pratique d’une musculation
est toujours nécessaire.
Finir son swing en «
C » est un bon
conseil.
# HOCKEY
SUR GAZON
La position particulière
du joueur en cyphose
pour «coller» au terrain
génère des contraintes
provoquant des douleurs de toute
la colonne vertébrale.
La pratique des étirements
reste indispensable.
Lire aussi :
Rééducation
des blessures
chez le sportif.
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